2. La liberté
Des émancipations successives
Le nominalisme a propagé en Europe le concept de liberté d’indifférence. Dès lors la nature, la culture, la religion sont considérés comme des entraves à la liberté. Et sans être un hors la loi, l’homme moderne rêve d’un affranchissement total vis-à -vis des lois, de la nature par la technologie, de la politique par les révolutions, des religions par la sécularisation, morale par la libération sexuelle notamment. La nature n’est plus qu’un matériau à maîtriser, le corps est « devenu moralement muet » J-L Bruguès
Cours de théologie morale sur la théorie du genre