La dernière strophe a une dimension collective. Les v. 20-21 semblent un ajout tardif, le temple ayant été reconstruit et le sacrifices ayant repris. On y affirme que le sacrifice sanglant ne dispense pas du sacrifice spirituel. Le psaume précédent avait déjà été une accusation de Dieu, las du sang des taureaux, de l’odeur des sacrifices, mais qui demandait qu’on revienne vers lui de coeur et d’âme.
Session sur les psaumes sur le psaume 51