Beaucoup pensent que cela m’amusait d’aller
partout. En fait, c’était un martyre pour moi. Là où j’allais, tout le monde m’aimait bien. Mais j’avais peur pour mon esprit, parce que le fait de me trouver au milieu de tant de personnes me distrayait du Seigneur. Je me sentais trop aimée, trop bien vue. Je me sentais en danger.
Le journal de sainte Joséphine Bakhita