Le Concile Vatican II a valorisé la dimension communautaire intrinsèque à l’identité de l’église. Une plus grande place à donc été faite au droit associatif mettant en jeu le caractère de la communion et la participation active des fidèles du Christ à la mission de l’église. Il ne découle pas d’une sorte de concession de l’autorité hiérarchique. Il y a une conscience plus grande que le droit d’association des fidèles découle de la dignité de la personne qui par le baptême prend une dimension accrue dans la communion ecclésiale. Ce droit d’association ne découle pas d’une sorte de concession de l’autorité hiérarchique.
Cours d’introduction au droit ecclésial sur 216 et 217