Ô générations des mortels, je vous compte pour rien, aussi longtemps que vous viviez ! Quel homme n’a pour plus grand bonheur que de sembler heureux et ne déchoit ensuite ? En face de ton démon et de ta destinée, ô malheureux Oedipe, je dis qu’il n’est rien d’heureux pour les mortels.
Sophocle, Oedipe roi