Les hommes et les femmes vivent leur sacerdoce baptismal chacun selon des dominantes propres.

Les femmes ne vivent pas leur sacerdoce baptismal comme les hommes. Les femmes ont un rapport plus direct à l’intériorité de la vie et ont à cause de cela un accès plus direct aux causes matérielles et finales : l’exemple et le but. La mère voit mieux la finalité de la vie parce qu’elle en est la source. Les hommes ont eux une plus grande sensibilité aux causes formelles et efficientes : ils aiment façonner le réel à partir d’une grande idée. Cela n’est pas à thématiser ni à essentialiser , il n’est question ici que de dominantes dans la participation à l’unique nature humaine.

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