Le chien a une compréhension limitée du but qu’il poursuit, là où l’homme en a une compréhension parfaite.

Le chien et l’homme ont la connaissance de la fin qu’ils poursuivent et se mettent eux-mêmes en mouvement vers elle. Mais l’un et l’autre n’ont pas la même connaissance de leur fin, ce qui provoque différentes actions volontaires. Le chien a une compréhension limitée du gâteau, là où l’homme en a une compréhension parfaite. Le chien voit alors un gâteau, là où l’homme voit le gâteau comme sa fin. Cette connaissance parfaite conduit à un parfait acte volontaire. Un chien n’est pas capable de peser le rapport des différents moyens et des différentes fins.

Annexe 1 https://iaquinas.com/les-actes-humains/

Cours de théologie morale sur les actes moraux