Le bestial devient l’humain et l’humain devient le bestial dans la corruption du travail

On en vient donc à ce résultat que l’homme (l’ouvrier) ne se sent plus librement actif que dans ses fonctions animales, manger, boire et procréer, tout au plus encore dans l’habitation, la parure, etc., et que, dans ses fonctions d’homme, il ne se sent plus qu’animal. Le bestial devient l’humain et l’humain devient le bestial.

Karl Marx

Cours de Philosophie contemporaine sur les maîtres du soupçon