3. Le plaisir
a. Un procès fait à l’Église
On reproche à l’Église d’avoir associé le plaisir et le péché. Pie XII avait déjà rappelé en 1951 que « les époux ne font rien de mal en recherchant le plaisir et en en jouissant ». Aussi, les Pères de l’Église ont été influencés par les courants de pensée de l’Antiquité, où même Marc Aurèle responsable du martyr de Ste Blandine notamment, disait que notre conduite nous couvre de honte lorsque notre partie la plus divine y est soumise à notre partie la plus vile. Mais depuis la révolution morale de 1968, le plaisir sexuel est revendiqué comme un droit et un besoin hygiénique.
Cours de théologie morale sur la théorie du genre