Dans la mesure ou l’Homme consent à vivre du Dieu vivant, il est libéré de ses fièvres, exorcise du démon de la possession. Il humanise son avoir en le dissociant du profit recherche pour lui-même. (…) l’avoir devient principe non pas d’une prise nouvelle, mais d’un don nouveau.
JG. Ranquet P. 163
Cours de Théologie spirituelle par Mgr David Macaire le jeudi – 202-